Restez en mouvement! Le renforcement musculaire et l’exercice aérobie sont d’excellents alliés anti-âge.

Blogue de janvier 2026

Au Centre chiropratique Dr Lepage chiropraticien, notre nouveau slogan est simple, mais significatif: «Restez en mouvement».

Il reflète ce que nous constatons chaque jour en clinique et ce que la science confirme depuis longtemps: le mouvement est l’une des meilleures stratégies pour maintenir votre autonomie et ralentir les effets du vieillissement.

Notre corps est conçu pour bouger.  Malheureusement, notre style de vie nous amène souvent à rester assis et immobiles pendant de longues périodes. Avec le temps, ce manque de mouvement peut entraîner des raideurs, des douleurs articulaires, de mauvaises postures ainsi qu’une réduction des amplitudes de mouvement.

Les ajustements chiropratiques améliorent la mobilité articulaire, mais vos habitudes quotidiennes aident votre corps à conserver ces bienfaits entre chaque visite.

Le renforcement musculaire : un outil anti-âge.

Des études récentes confirment que la perte de masse musculaire (sarcopénie) débute dès 30 ans, s’accélère après 50 ans, mais qu’elle peut être combattue efficacement par les exercices de résistance (musculation) Renforcer vos muscles de la bonne façon permet d’augmenter la densité osseuse et le métabolisme, améliorer la posture, maintenir une bonne mobilité et conserver son équilibre.  Deux à trois séances par semaine suffisent pour avoir des bienfaits significatifs.

Deux à trois séances par semaine de musculation suffisent pour avoir des bienfaits significatifs.

L’importance de l’activité physique aérobie

Être actif pendant au moins 150 minutes par semaine peut contribuer à réduire le risque de décès prématuré, de maladies du cœur, d’accidents vasculaires cérébraux, d’hypertension artérielle, de certains types de cancers, de diabète de type 2, d’ostéoporose, de surpoids et d’obésité!  L’activité physique permet aussi bien sûr d’améliorer la forme physique, la force et la santé mentale (le moral et l’estime de soi).

Les adultes devraient faire chaque semaine, par séances de 10 minutes ou plus, au moins 150 minutes d’activité physique aérobie d’intensité modérée ou 75 minutes d’activité vigoureuse.

Les adultes devraient faire chaque semaine, par séances de 10 minutes ou plus, au moins 150 minutes d’activité physique aérobie d’intensité modérée ou 75 minutes d’activité vigoureuse.  De plus, les bienfaits de l’activité physique continuent à augmenter au-delà des 150 minutes par semaine recommandées.

Avoir des ajustements chiropratiques réguliers, faire du renforcement musculaire 2 à 3 fois par semaine et suivre les recommandations canadiennes d’activité physique aérobie vous aideront réellement à rester en mouvement à toutes les étapes de votre vie. 

La clé : être constant et discipliné.  Nous sommes là pour vous accompagner.  Restez en mouvement. Restez fort. Restez jeune.

Restez en mouvement!

Nous aidons chacun des membres de la famille à soulager leurs douleurs ou autres symptômes, à corriger leur posture et à obtenir un fonctionnement optimal de leur colonne vertébrale. Nous aidons aussi nos patients à trouver des solutions durables pour maintenir une santé optimale via, entre autre, des ajustements réguliers et l’activité physique.

La première visite est consacrée à l’examen et à la prise de radiographies.  Si votre chiropraticien le juge opportun, il pourrait y a avoir un traitement dès la première visite.  Lors de la deuxième visite, on vous expliquera en profondeur votre diagnostic, vous verrez vos radiographies et vous recevrez votre premier ajustement.  C’est donc au cours de votre troisième visite que recevrez vos recommandations de soins basées, entre autres, sur vos réactions au premier traitement.

Lors de votre troisième visite, votre chiropraticien vous recommandera des soins correctifs. On vous expliquera ce que cela implique: le temps requis, la fréquence de vos visites, les exercices à faire ainsi que toutes les recommandations que votre chiropraticien peut vous donner dans le but que vous obteniez une santé optimale.

Les soins correctifs nécessitent du temps.  Les troubles de postures, les désalignements de la colonne vertébrale ainsi que les autres troubles que votre chiropraticien vous recommandera de faire corriger se sont installés lentement avec les années.  Cela même si la douleur est apparue récemment suite à quelque chose d’anodin.

Liberté de choix.

Soyez assurés que votre chiropraticien vous recommandera les meilleurs types de soins qu’il peut vous offrir.  Cependant, vous ne serez jamais contraint à entreprendre ou poursuivre des soins de longue durée.

Marche et course, les clés d’une santé de fer, selon Denis Fortier.

Ici Radio-Canada, Pénélope, le mardi 23 septembre 2025.

Peut-on améliorer significativement son espérance de vie en enfilant simplement une paire de chaussures? C’est la question que de nombreuses personnes se posent, et la réponse semble se trouver à la croisée de la course et de la marche. Qu’il s’agisse de compléter un demi-marathon ou simplement de faire une balade tonique, Denis Fortier démontre comment ces activités ont une incidence positive sur la santé.

Selon le physiothérapeute Denis Fortier, la science est claire : l’activité physique est un puissant antidote à la maladie et un véritable élixir de jouvence. Des études montrent que la course peut réduire le risque de mortalité de 25 à 40 %, tandis que la marche active peut ajouter jusqu’à trois ans à l’espérance de vie.

Le secret, selon lui, réside moins dans le nombre de pas que dans l’intensité de l’effort. Marcher d’un pas rapide, courir par intervalles ou même utiliser une veste lestée permet d’augmenter les bienfaits, prouvant qu’il n’est pas nécessaire d’être un ou une athlète de haut niveau pour récolter des bénéfices majeurs.

Rester active pendant la grossesse et après l’accouchement.

Blogue d’octobre 2025

Rester active pendant la grossesse et après l’accouchement

Conseils de votre chiropraticien

La grossesse et l’accouchement sont des moments uniques et magnifiques, mais ils amènent aussi beaucoup de changements physiques. Rester active de façon sécuritaire et adaptée peut aider à diminuer l’inconfort, améliorer l’humeur, faciliter la récupération et soutenir votre bien-être global. Voici quelques conseils, incluant l’importance de la marche avec poussette, le choix d’une bonne poussette et des exemples d’activités offertes à Saint-Lazare et ses environs.


Pourquoi rester active pendant et après la grossesse ?

Les bienfaits sont nombreux :

  • Réduction des douleurs lombaires, pelviennes et articulaires grâce au mouvement et à une meilleure posture.
  • Amélioration de l’humeur, du sommeil et de la circulation sanguine, ce qui peut diminuer l’enflure.
  • Préparation à l’accouchement et récupération plus facile en gardant le corps fort, souple et mieux aligné.
  • Renforcement postnatal pour soutenir la colonne, le plancher pelvien et les muscles abdominaux.

Les soins chiropratiques peuvent aussi améliorer votre confort et optimiser votre posture à chaque étape de la grossesse.


Conseils pratiques pour la marche avec poussette.

  • Toujours obtenir l’accord de votre professionnel de santé avant de commencer ou reprendre une activité.
  • Écoutez votre corps : fatigue, étourdissements, douleurs inhabituelles sont des signaux d’arrêt.
  • Adoptez une bonne posture : dos droit, épaules détendues, bassin neutre. De bonnes chaussures sont essentielles.
  • Choisir une poussette adaptée :
    • Roues stables et bonne suspension pour les trottoirs et sentiers.
    • Poignée ajustable pour éviter de vous pencher.
    • Maniabilité facile afin de ne pas forcer le dos.
  • Privilégiez la marche rapide (quand c’est possible) : alternez entre rythme modéré et plus soutenu pour stimuler la circulation et l’endurance.
  • Variez vos activités : yoga prénatal, natation, étirements doux, exercices de respiration et, après l’accouchement, exercices légers pour le plancher pelvien et la sangle abdominale.

Après l’accouchement : reprendre doucement.

  • Commencez par de courtes promenades avec la poussette.
  • Accordez une attention particulière à votre posture lors de l’allaitement et du portage.
  • Renforcez progressivement le plancher pelvien avec des exercices adaptés.
  • Intégrez graduellement plus de marche, de renforcement musculaire et de souplesse selon votre niveau d’énergie.

Ressources locales à Saint-Lazare et dans les environs.

Parcs et sentiers

Centre Prénatal et Jeunes Familles de Vaudreuil-Soulanges (https://www.centrepjf.org/).

  • Ateliers « En attendant bébé » pour préparer l’accouchement.
  • Yoga prénatal.
  • Activités maman-bébé (massage, stimulation, mouvement, musique).
  • Groupes de discussion Cafés-causeries pour briser l’isolement et échanger avec d’autres parents.

CLSC et services publics (https://www.santemonteregie.qc.ca/installations/centre-multiservices-de-sante-et-de-services-sociaux-de-vaudreuil-dorion).

Des cours prénataux sont aussi offerts par le réseau de la santé du Québec (préparation à l’accouchement, nutrition, soins au nouveau-né).

Le syndrome fémoro-patellaire.

Blogue de juin 2025

Si vous êtes coureur ou simplement actif et que vous ressentez une douleur persistante à l’avant du genou, il se peut que vous souffriez d’une condition communément appelée le « genou du coureur ». Ce trouble, aussi connu sous le nom de syndrome fémoro-patellaire (SFP), est une blessure par surutilisation fréquente qui peut limiter sérieusement votre mobilité et vos performances.

À notre clinique, nous recevons régulièrement des patients souffrant de SFP — et la bonne nouvelle, c’est que cette condition se traite, et dans bien des cas, se prévient.

Qu’est-ce que le genou du coureur ?

Le genou du coureur ne touche pas uniquement les coureurs. C’est un terme général désignant une douleur autour de la rotule (patella), en particulier à l’endroit où elle entre en contact avec l’extrémité inférieure du fémur. Cette douleur s’accentue généralement lors d’activités qui sollicitent le genou, telles que :

  • La course à pied (surtout en descente)
  • Les squats ou les positions accroupies
  • La montée ou la descente des escaliers
  • La position assise prolongée, genoux pliés

Quelles sont les causes du genou du coureur ?

Le SFP est souvent causé par un stress répétitif sur l’articulation du genou, mais plusieurs facteurs sous-jacents peuvent y contribuer :

  • Une biomécanique déficiente : un mauvais alignement de la rotule, une hyperpronation du pied ou une différence de longueur des jambes peuvent entraîner un mauvais mouvement de la rotule.
  • Des déséquilibres musculaires : une faiblesse des quadriceps, des hanches ou des fessiers peut exercer une pression excessive sur le genou.
  • Des muscles trop tendus : des ischio-jambiers, mollets ou bandes iliotibiales (IT) rigides peuvent tirer la rotule hors de son axe.
  • Une surutilisation : une augmentation trop rapide de l’intensité ou du volume d’entraînement peut dépasser les capacités de récupération du genou.

Comment la chiropratique peut aider

Les soins chiropratiques visent à rétablir un alignement, une mobilité et une fonction adéquate du système musculo-squelettique. Pour les patients souffrant du genou du coureur, cela peut inclure :

1. Ajustements articulaires

Des ajustements précis de la colonne vertébrale, des hanches, des genoux et des pieds peuvent améliorer la mobilité des articulations.

2. Thérapie des tissus mous

Les techniques manuelles, telles que pressions ischémiques sur les « points gâchettes » ou la théprapie par ultrasons permettent de relâcher les muscles et fascias tendus autour du genou, de la cuisse et de la hanche.

3. Orthèses plantaires moulées

Un affaissement de la voûte plantaire ou une hyperpronation peut causer un mauvais mouvement de la rotule. Nous pouvons vous diriger vers un(e) podiatre ou un(e) orthésiste qui pourra au besoin vous procurer des orthèses pour soutenir la voûte et corriger la démarche.

4. Exercices de rééducation

Le renforcement et l’étirement de groupes musculaires clés — notamment les quadriceps, les fessiers et les abducteurs de la hanche — aident à rétablir l’équilibre et le bon fonctionnement du genou.

5. Conseils sur l’entraînement et le mode de vie

Nous vous aiderons à ajuster votre technique de course, à choisir des souliers adéquats et à bien planifier votre entraînement pour réduire le stress sur vos genoux.

Conseils pour prévenir le genou du coureur

Même si vous n’avez pas encore de douleurs, voici quelques astuces pour garder vos genoux en bonne santé :

  • Échauffez-vous avant l’effort et étirez-vous après.
  • Augmentez progressivement votre charge d’entraînement.
  • Intégrez des exercices de renforcement et de souplesse à votre routine.
  • Écoutez votre corps. Si une douleur apparaît, ne forcez pas.

Ne laissez pas la douleur vous arrêter

Le genou du coureur peut être frustrant — mais avec les bons soins, ce n’est pas une fatalité. Si vous souffrez de douleurs au genou, notre équipe chiropratique est là pour vous aider à retrouver votre mobilité et votre confort.

Prenez rendez-vous dès aujourd’hui, et faisons ensemble le premier pas vers un mouvement sans douleur !

Douleurs lombaires et muscles abdominaux.

Blogue de mars 2025

Image: Physitrack.

Une étude faite à l’Ohio State University Wexner Medical Center visait à comprendre les causes de douleurs lombaires chez les athlètes ainsi qu’à déterminer quels seraient les exercices appropriés pour les prévenir.

Publiée dans le Journal of Biomechanics, cette étude suggère que les sportifs ayant des muscles abdominaux et lombaires profonds trop faibles sont plus susceptibles de souffrir de douleurs lombaires.  Malheureusement, pour la plupart des gens, ces muscles sont loin d’être assez forts.  Pour comprendre le rôle des muscles profonds et superficiels du tronc, les chercheurs ont utilisé des détecteurs de mouvements ainsi que des plaques au sol pour mesurer les forces et les contractions musculaires durant la course à pied.

Ils ont découvert que des muscles profonds du tronc trop faibles obligent les muscles superficiels à travailler davantage et à se fatiguer plus rapidement.  Quand les muscles abdominaux et lombaires de surface (ceux qui sont visibles, le « six-pack » entre autres) font le travail des couches plus profondes, les conséquences sont souvent douloureuses.  Même avec les muscles profonds trop faibles, le corps est capable de compenser de manière à courir normalement en apparence.  Cependant, la charge de travail sur la colonne vertébrale augmente et provoque souvent des lombalgies. 

Des exercices comme la « planche », qui sollicitent tous ces petits muscles profonds, surtout lorsque faits sur un ballon ou une autre surface instable, sont ceux qui feront vraiment une différence. Image: Physitrack.

Il est fréquent, même pour les athlètes bien entraînés, de négliger leurs muscles abdominaux et lombaires profonds.  Les exercices classiques comme les redressements assis ne renforcent pas suffisamment les muscles « stabilisateurs » qui aident à prévenir les douleurs lombaires.  Des exercices comme la « planche », qui sollicitent tous ces petits muscles profonds, surtout lorsque faits sur un ballon ou une autre surface instable, sont ceux qui feront vraiment une différence.

Selon cette étude, Le « six-pack »
n’aide pas autant à réduire les
lombalgies que les muscles plus profonds.

Développer des abdominaux superficiels, le « six-pack » n’aide pas autant à réduire les lombalgies que d’avoir les muscles plus profonds bien entraînés.  Les exercices statiques comme la planche ainsi que ceux faits sur un ballon qui vous obligent à contracter votre « core »  sont les plus utiles pour prévenir les douleurs lombaires.

Chiropratique familiale

Au cours des 24 dernières années, nous avons aidé plus de 5000 personnes à soulager leurs douleurs, à corriger leur posture et à trouver des solutions durables pour maintenir une santé optimale. 

La clientèle que nous servons est composée majoritairement de familles pour qui la santé est une valeur de base. 

Nous aidons chacun des membres de ces familles à soulager leurs douleurs ou autres symptômes, à corriger leur posture et à obtenir un fonctionnement optimal de leur colonne vertébrale. Nous aidons également nos patients à trouver des solutions durables pour maintenir une santé optimale via, entre autre, des ajustements réguliers et l’activité physique.


Bien choisir ses vêtements pour courir en hiver.

Blogue de décembre 2024

L’hiver peut rendre la course à pied plus difficile, mais cela ne signifie pas que vous devez laisser les températures froides vous empêcher de courir. Bien au contraire, avec les bons vêtements, vous pouvez profiter des bienfaits de la course même par temps froid. En tant que chiropraticiens, nous vous conseillons de porter des vêtements adaptés qui vous garderont au chaud et vous aideront à maintenir une bonne posture et éviteront les blessures.

 

1. L’habillement en « pelures d’oignon », votre meilleur allié.

Lorsque vous courez en hiver, il est essentiel de comprendre l’importance de la superposition des vêtements. L’idée est de vous habiller en plusieurs couches pour créer une isolation tout en permettant à votre corps de respirer. Voici comment procéder :

  • La couche de base
    Elle doit être légère, en matière synthétique ou en laine mérinos. Ces tissus évacuent l’humidité de votre peau, ce qui est crucial pour éviter la sensation de froid liée à la sueur. Une couche de base bien choisie permet à votre corps de rester au chaud tout en évitant l’accumulation d’humidité.
  • La couche intermédiaire
    Cette couche a pour rôle d’isoler la chaleur. Les vestes ou les chandails en tissus « polaires » sont des choix populaires. Ces matériaux emprisonnent l’air chaud tout en respirant. La protection contre le vent est aussi un critère essentiel à ce stade, car un vent glacial peut rapidement refroidir votre corps.
  • La couche externe
    La dernière couche est la protection contre les intempéries (vent, pluie, ou neige). Il est essentiel de choisir une veste coupe-vent et imperméable. La matière Gore-Tex, par exemple, est idéale pour sa légèreté et sa capacité à repousser l’humidité tout en permettant à la peau de respirer.  Choisissez une veste avec des éléments réfléchissants pour plus de sécurité.

 

2. Ne négligez pas le reste.

  • Les gants
    Les mains sont particulièrement vulnérables au froid. Il est donc essentiel de porter des gants adaptés. Choisissez des gants coupe-vent et imperméables, ou encore des gants en laine pour plus de chaleur.  Par grands froids, les mitaines seront plus efficaces pour garder vos mains au chaud.
  • La tuque
  • Une grande partie de la chaleur corporelle se perd par la tête, donc la protéger est essentiel pour maintenir une température corporelle stable.  Une tuque en matière thermique ou un bandeau couvrant les oreilles est indispensable.
  • Les bas et les souliers.
    Les pieds sont souvent les premières zones du corps à geler. Choisissez des bas en laine mérinos qui gardent vos pieds au chaud même lorsqu’ils sont mouillés. Optez pour des souliers spécifiquement conçus pour les conditions hivernales dotés de semelles antidérapantes pour éviter les chutes sur les surfaces gelées.

3. Bien écouter son corps et maintenir une bonne posture.

En tant que chiropraticiens, nous vous rappelons l’importance de maintenir une bonne posture lors de votre course, surtout en hiver. L’ajout de couches peut parfois modifier votre mobilité, veillez donc à rester flexible dans vos vêtements. De plus, le froid peut rendre les muscles plus tendus, il est donc essentiel de bien s’échauffer avant la course pour éviter les blessures.

Conclusion

Courir en hiver devrait être plaisant.  C’est une bonne façon de profiter des bienfaits de l’exercice même par temps froid. En portant les bons vêtements, vous vous protégez contre le froid tout en minimisant les risques de blessures. N’oubliez pas de superposer vos vêtements, de bien choisir vos accessoires et de toujours écouter votre corps pour une course agréable et sécuritaire.

Voyager sans douleur.

Source: Association chiropratique canadienne.

Blogue d’octobre 2024

Voyager peut être une formidable aventure, mais les déplacements s’accompagnent de défis pour le corps. Marcher d’un terminal à l’autre, rester assis pendant de longues périodes ou soulever des bagages lourds peuvent causer de la fatigue musculaire et des raideurs articulaires.  Votre chiropraticien vous propose des exercices pour optimiser votre confort de l’arrivée à l’aéroport jusqu’à votre destination.

1. Étirer les fléchisseurs de la hanche avant une longue marche dans le terminal.  Dans un endroit dégagé, tenez-vous droit, les bras le long du corps. Placez les mains sur les hanches. Faites un pas en avant avec le pied droit. Abaissez votre genou droit en le pliant à un angle de 90 degrés. En gardant la jambe gauche tendue, vous devriez sentir un étirement dans la hanche gauche. Maintenez la position de 20 à 30 secondes, puis changez de jambe.

Conseil chiropratique : même si vous portez des chaussures de course, faire de plus petits pas peut réduire la force exercée sur les talons, les pieds, les jambes et le dos.

2. Se préparer à soulever ses bagages pour les placer dans le compartiment supérieur en étirant le haut du dos.  Placez-vous debout, les pieds écartés à la largeur des épaules. Entrelacez les doigts derrière la tête et ramenez légèrement les coudes vers l’arrière, en ouvrant la poitrine. Inspirez profondément et, en expirant, arrondissez doucement le haut de votre dos, en soulevant la poitrine vers le plafond. Maintenez la position de 20 à 30 secondes. Vous devriez sentir la tension se relâcher dans le haut du dos.  Rappel! Si vous portez un sac en bandoulière, n’oubliez pas de le changer de côté pendant vos déplacements afin de répartir la charge entre vos épaules gauche et droite.

3. Étirer le cou après une sieste dans l’avion Asseyez-vous bien droit sur votre siège et inclinez lentement la tête vers la droite, en rapprochant l’oreille de l’épaule. Pressez légèrement la tête avec la main droite pour rapprocher l’oreille de l’épaule et ainsi accentuer l’étirement. Prenez de longues et profondes inspirations tout en maintenant la position de 20 à 30 secondes, puis passez au côté gauche. Veillez à garder les épaules détendues pendant toute la durée de l’étirement.

4. Étirer le bas du dos après un long vol ou une escale. Asseyez-vous sur le bord de votre siège, les pieds à plat sur le sol. Placez une cheville sur le genou opposé, en formant un quatre avec vos jambes. Penchez-vous doucement vers l’avant, en gardant le dos droit, jusqu’à ce que vous sentiez un étirement dans le bas du dos et les hanches. Maintenez la position de 20 à 30 secondes, puis changez de côté.

5. Étirer tout le dos dans une file d’attente.  Placez-vous debout, les pieds écartés à la largeur des épaules. Levez les bras au-dessus de la tête et entrelacez les doigts. Penchez-vous lentement vers un côté, en étirant tout le côté du corps. Maintenez la position de 20 à 30 secondes, puis changez de côté. Enfin, penchez-vous vers l’avant en essayant de toucher vos orteils et redressez-vous en déroulant le dos, une vertèbre à la fois.

Conseil chiropratique : des études recommandent de se lever et de bouger toutes les heures pour réduire les raideurs et les douleurs musculaires courantes. Lorsque les conditions sont favorables, levez-vous et bougez pendant quelques minutes!

Vous êtes enfin arrivé! En intégrant ces simples étirements à votre routine de voyage, vous pouvez contribuer à prévenir les douleurs qui accompagnent les longs déplacements, que vous partiez vers la destination de vos rêves ou que vous rentriez chez vous, dans le confort de votre foyer. Quelques étirements peuvent grandement contribuer à votre confort et vous permettre de profiter pleinement de votre voyage.onnel de la santé pour qu’il évalue la situation. Une commotion ne doit jamais être prise à la légère : elle nécessite des soins.